femme qui a pu soulager ses règles douloureuses grâce au CBD

Règles douloureuses : comment les soulager ?

Plus de 2/3 des femmes aimeraient ne plus avoir leurs règles. Cette donnée significative illustre le mal-être que les femmes peuvent traverser chaque mois, pendant en moyenne 38 ans de leur vie.


Si les crampes menstruelles sont les aspects les plus redoutés du syndrome prémenstruel (SPM), il existe heureusement de nombreuses solutions pour soulager les douleurs liées aux règles. Parmi celles-ci, on retrouve des solutions classiques comme se détendre, les sources de chaleur ou une bonne alimentation. Il existe cependant des alternatives plus tendance telles que l’aromathérapie ou la phytothérapie pour apaiser naturellement, grâce au chanvre, par exemple.


Voici donc toutes nos astuces pour ne plus voir la vie en rouge, mais en rose !


Comment se manifestent les règles ?

Pour pouvoir atténuer les symptômes causés par des règles douloureuses, il est important de localiser où ils se situent. Bien que les maux diffèrent d’une femme à l’autre, on peut dessiner une tendance générale autour des douleurs ressenties lors de cette période.

Symptômes communs

Les douleurs les plus fréquentes sont les crampes musculaires et autres tensions plus ou moins intenses dans le bas-ventre, continues ou qui vont et viennent. Celles-ci peuvent s’étendre jusqu’aux reins ou dans les cuisses. C’est l’effet « je me plie en deux », aïe aïe aïe !

femme sujette à des règles douloureuses et pliée en deux

Les femmes peuvent également être sujettes à des ballonnements ou à des gonflements visibles dans les seins, les chevilles, les doigts ou encore le ventre. Cette sensation de compression est due à de l’eau qui s’accumule dans le corps : c’est la rétention d’eau.


Qui sont les coupables ? Les hormones qui viennent perturber le système endocrinien pendant le SPM, soit après l’ovulation et avant le début des règles. Ainsi, il est possible de ressentir des fringales et avoir envie de grignoter en permanence entre les repas, d’autant plus si vous avez tendance à « manger vos émotions ». Mais rassurez-vous : tout redevient à la normale après le début des menstruations !


Les derniers symptômes les plus courants dans cette phase du cycle féminin sont les troubles intestinaux. Ceux-ci se manifestent par une moins bonne digestion, des gaz et des phases de constipation et de diarrhée. On ne vous fait pas de dessin.


Tous ces symptômes impactent négativement le moral et engendrent bien souvent des sautes d’humeurs, ainsi qu’une sensation de fatigue et de malaise général.

femme qui souffre de règles douloureuses, allongée à l’ombre d’un chanvre

Symptômes moins communs

Il arrive que le syndrome prémenstruel s’accompagne d’importants maux de tête, que l’on appelle alors « migraines cataméniales ». Celles-ci se déclenchent entre deux jours avant et trois jours après le début des menstruations et sont directement liées à la chute du taux d’œstrogènes. La violence de ces migraines peut provoquer des nausées et parfois des vertiges, un peu comme celles que l’on ressent en plein mal de mer. Et qui dit mal de mer, dit vomissements, des troubles moins fréquents, mais qui se manifestent chez 3 % des femmes.

Un autre phénomène plus isolé, mais signalé, est l’envie pressante de se rendre au petit coin régulièrement. Il se pourrait que cette sensation d’avoir envie de faire pipi soit liée à la congestion pelvienne au moment des règles, ou encore au tampon qui exerce une pression sur l’urètre.

Enfin, bien que les règles douloureuses se fassent surtout sentir au niveau physique, les femmes peuvent être atteintes d’une déprime passagère. Celle-ci est due à la fluctuation hormonale entre la progestérone et les œstrogènes, qui entraîne une baisse de production de la sérotonine, l’hormone du plaisir.

Comment apaiser les règles douloureuses ?

Le réflexe le plus communément acquis pour calmer les douleurs menstruelles est la prise d’un médicament antalgique anti-inflammatoire (paracétamol ou ibuprofène) ou antispasmodique (comme le Spasfon) qui va réduire la douleur. À éviter : la prise d’aspirine qui aura l’effet inverse puisqu’elle fluidifie le sang et peut favoriser les hémorragies.

Il est également possible de suivre un traitement hormonal en prévention des règles, sous forme de patch ou de crème, sur avis médical.

En revanche, chez Baga, on reste adeptes de gestes et de solutions plus naturelles. On vous dit tout !


Adopter une bonne hygiène quotidienne

Le stress est notre pire ennemi au quotidien (OK, ce n’est pas nouveau), mais il peut impacter la production des prostaglandines et ainsi doubler le risque d’apparition des douleurs. Et ça, vous ne le saviez sûrement pas ! C’est pourquoi il faut essayer de vous détendre au maximum, en pratiquant une activité sportive douce, tel que le yoga, le stretching ou encore la marche. Le fait d’être en mouvement permet de relâcher les tensions. Par ailleurs, ces exercices relaxants vont accentuer le lâcher-prise et améliorer votre bien-être général, tout en limitant le syndrome prémenstruel. Vous pouvez aussi pratiquer un massage de la zone endolorie pour vous décontracter.

Une autre alternative naturelle et innovante est l’utilisation de tampons BIO infusés au CBD, comme le propose Daye. Le principe d’application est le même, mais les substances du THC et du CBD s’avèrent particulièrement efficaces pour bloquer les douleurs. Il leur faut quelques minutes seulement pour s’infiltrer dans les parois vaginales, puis se diffuser dans le sang et ainsi réduire l’inconfort causé par les menstrues.

tampons infusés au CBD pour soulager les douleurs menstruelles

En attendant leur commercialisation en France, une troisième astuce qui ne mange pas de pain est de combattre le mal par le mal par la chaleur. Pour cela, deux possibilités : soit vous placez une bouillotte chaude ou une compresse chauffante sur votre ventre, soit vous vous glissez dans un bain chaud pour relâcher vos muscles et atténuer la douleur.

Pour finir sur l’hygiène de vie, inutile de préciser que le tabac est (aussi) à éviter lors du cycle menstruel puisqu’il diminue la production d’œstrogènes et intensifie les douleurs.


Bien choisir ses aliments

Un esprit sain dans un corps sain : plus vous soignerez votre alimentation, meilleure sera votre réponse face aux dysménorrhées (règles douloureuses). Alors quoi consommer ?

  • Tout d’abord, il est primordial de bien vous hydrater, en respectant un apport de 1,5 litre d’eau par jour. Veillez néanmoins à limiter les excitants tels que le café, le thé et les sodas, trop riches en sucres ;

  • Nous vous conseillons ensuite de privilégier des aliments bruts (non transformés), riches en fibres et en calcium, et si possible, bio. En effet, les pesticides sont des perturbateurs endocriniens qu’il convient d’éviter. En résumé : mangez davantage de légumes verts, plus de produits laitiers et moins de plats préparés. Ces derniers contiennent de mauvaises graisses ainsi que du sel et augmentent la rétention d’eau ;

  • Ajoutez à cela des aliments riches en oméga-3 comme les noix ou le poisson. Le saumon, le thon, le maquereau, le hareng et la sardine possèdent des propriétés anti-inflammatoires bénéfiques ;
  • Consommez de la vitamine B6 pour lutter contre les migraines. On la trouve dans les pistaches, les lentilles, les pois chiches, le poulet, les graines de tournesol, les bananes, etc. ;
  • Et pour continuer de vous faire plaisir sans souffrir (à condition de ne pas vous goinfrer !), vous pouvez miser sur du chocolat noir, riche en magnésium, en potassium et en fer, aux vertus anti-inflammatoires et réconfortantes.

Le petit + de Baga : les gummies, ces petits bonbons à mâcher que vous pourrez prendre en compléments alimentaires, et qui feront bientôt partie de notre gamme pour lutter contre les douleurs menstruelles et contrecarrer la constipation. En effet, plus vous mastiquez, plus vous digérez facilement les aliments.


S’aider de l’aromathérapie

Pour moduler l’intensité des douleurs liées aux règles, il est possible de vous tourner vers l’homéopathie, une médecine douce qui s’adapte à chaque sujet féminin.

Toutefois, si vous n’êtes pas réceptive à l’homéopathie, nous vous conseillons de tester les huiles essentielles en tant que remèdes naturels contre vos maux de tête et de ventre, et plus particulièrement l’huile de CBD. On parle alors d’aromathérapie. L’huile de CBD va jouer un rôle de catalyseur dans l’organisme. Étant donné que celle-ci est rapidement assimilée, quelques gouttes sur la langue ou dans vos boissons suffisent pour soulager vos souffrances, en renouvelant la prise jusqu’à 3 fois par jour, si besoin.

l’huile de CBD comme remède naturel contre les règles douloureuses

Il est également possible d’atténuer les crampes localement, en appliquant de l’huile essentielle sur votre ventre et en massant doucement. N’oubliez pas de la diluer au préalable avec une base d’huile végétale (noisette, macadamia ou amande douce), sur conseil de votre pharmacien.

Enfin, pour soulager les migraines cataméniales, vous pouvez vous masser les tempes et le front avec une petite noisette de baume du tigre (selon les dosages en accord avec la législation française), qui aura pour effet de calmer les spasmes provoqués par les menstrues. Celui-ci contient en effet des huiles essentielles d’eucalyptus, de menthe poivrée, de camphre, de cajeput et de clou de girofle.


S’intéresser à la phytothérapie : le pouvoir des plantes

Certaines plantes médicinales peuvent soulager les maux menstruels tels que le gingembre, de la même famille que le curcuma, ou bien la valériane, la mélisse ou encore la camomille.

En tant que créateurs de la marque Baga, nous avons vite compris que l’alliance d’extraits de plantes et de cannabidiol (issu de la plante de chanvre), est clé pour conserver son calme et sa sérénité, notamment lors des dysménorrhées. C’est pourquoi nous avons pris soin de sélectionner des plantes qui agissent en complémentarité des fruits (et du CBD) pour composer des breuvages audacieux et efficaces. Notre gamme naturelle d’eaux aromatisées et d’infusions froides se compose ainsi des couples plante-fruit suivants :

  • Cerise & Hibiscus ;
  • Agrumes & Fleur de Sureau ;
  • Pomme, Kiwi & Camomille ;
  • Pêche & Verveine ;
  • Framboise & Mélisse.

À titre d’exemple, la mélisse soulage les spasmes, mais aussi les douleurs psychiques comme l’anxiété, le stress ou la dépression, qui peuvent toucher les femmes pendant cette période.

Nous ne comptons pas nous arrêter en si bon chemin puisque nous vous annonçons en avant-première la sortie future d’une nouvelle gamme d’infusions pyramide et de gummies. Cette diversification prévue pour cette fin d’année répondra à 3 enjeux majeurs : le soulagement du SPM et des douleurs menstruelles, la récupération musculaire et la qualité du sommeil, grâce à l’hibiscus, la mélisse, la feuille de framboise et la vigne rouge.

Quelles sont les causes des règles douloureuses ?

Selon une étude de l’IFOP*, une femme sur deux souffre tous les mois de douleurs liées aux règles. Mais quels sont les déclencheurs de ce phénomène ?

Les deux principaux responsables sont les œstrogènes et la progestérone, des hormones sexuelles sécrétées par les ovaires pendant les cycles menstruels. La progestérone prépare l’utérus à une éventuelle grossesse, tandis que les œstrogènes stimulent le développement des organes sexuels et prévoient la production de lait maternel.

Ces hormones atteignent un pic dans la deuxième partie du cycle féminin, lors de la phase lutéale, soit entre l’ovulation et l’apparition des règles. Si l’ovule n’est pas fécondé, le taux d’œstrogènes et de progestérone chute et arrivent alors les menstruations.

En revanche, si ces hormones agissent de façon complémentaire et régulent les cycles, c’est réellement le déséquilibre entre les deux qui est l’origine de ces douleurs. Par ailleurs, ce sont les femmes les plus sensibles à ce changement qui sont le plus touchées par le SPM.

Un 3e responsable peut être mis en cause : les prostaglandines. Ce sont des petites molécules produites naturellement par l’organisme, qui ordonnent à l’utérus de se contracter pour expulser le sang pendant les règles. Or, ces contractions utérines touchent parfois le système digestif et occasionnent les troubles digestifs que l’on a vus plus haut.

Enfin, nous tenons à rappeler que les dysménorrhées peuvent survenir aussi bien à l’adolescence (dysménorrhées primaires), qu’au cours de la vie adulte (dysménorrhées secondaires), après une grossesse ou à l’approche de la ménopause, par exemple. Toutefois, si vous ressentez des douleurs pelviennes très fortes, voire invalidantes, il est recommandé de consulter votre médecin, car celles-ci peuvent cacher des troubles gynécologiques plus importants, comme l’endométriose.

Comme nous l’avons vu, chaque femme réagit différemment face aux symptômes menstruels et face aux remèdes qui existent. Libre alors à chacune de s’écouter et de trouver le traitement qui lui convient le mieux.

Pour que les règles ne soient plus un fléau ni un tabou, nous comptons sur vous pour partager ce contenu sur vos réseaux sociaux et en faire profiter celles qui peuvent être particulièrement touchées pendant cette période : qu’elles soient vos amies, vos mères, vos collègues ou vos connaissances !

Prenez soin de vous <3



* « Étude Ifop pour Intimina réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 17 au 18 avril 2021 auprès d’un échantillon de 1010 femmes, représentatif de la population féminine française âgée de 15 à 49 ans résidant en France métropolitaine. »

Retour au blog

Laisser un commentaire

Veuillez noter que les commentaires doivent être approuvés avant d'être publiés.